Actualités de la semaine #08

Regarder en arrière pour mieux aller de l’avant, tel devrait être la nouvelle devise de mon blog au lieu de « tout ce qui est inutile est forcément indispensable ». Tel Doc et Marty je reviens inlassablement dans le passé pour mieux affronter le futur ! Il y a 4 ans, le gouvernement turque promulguait une loi pour mieux censurer Internet. Force est de constater aujourd’hui qu’elle a été plusieurs utilisée et évidemment, pas pour la liberté d’expression.

Petite histoire des téléchargements illégaux…

Les téléchargements illégaux existent depuis les débuts d’internet et ne sont que la suite logique des copies de K7 ou autres VHS (encore faudrait-il que ces 2 notions vous parlent).

Au commencement il y eu NAPSTER (qui est maintenant une plateforme légale d’écoute de musique) puis EMULE, ça c’est pour les téléchargements dits en P2P. Face à des retentissants procès, d’autres moyens méconnus au départ ont émergés comme les NEWSGROUPS et autres TORRENTS. Les sociétés éditrices ont lutté contre tout cela et des fois, ça devenait assez lourd pour les personnes honnêtes.

Et puis les réseaux n’ont cessé de grossir et les flux vidéos en ont profité avec le STREAMING via des plateformes plus ou moins critiques sur les contenus accessibles.

… jusqu’à l’émergence des télés du net…

C’est à partir de là que des sociétés comme NETFLIX ou des services comme GOOGLETV sont apparus. Evidemment, du côté des chaînes historiques, on n’était pas trop joie de voir débarquer ces ricains qui ont allègrement empiéter sur leurs plates-bandes. Aujourd’hui NETFLIX produit son propre contenu et trolle le monde en se permettant de faire une pub lors du denier Super Bowl qui annonce la disponibilité du dernier Cloverfield.

… et de la remise en question de la neutralité du net !

On pourrait se dire que l’on s’arrêterait là. Oui, mais… Ce fameux « oui mais… » qui nous fait dire que non ! En avril dernier, les US ont décidé de porter un coup fatal à la neutralité du net. Qu’est ce que cela veut dire concrètement ? Et bien que demain, pour pouvoir lire les vidéos NETFLIX qui passent par INTERNET, il faudra payer bien plus que votre abonnement si vous souhaitez recevoir des flux corrects.

Bonus

Allez, après ce lot de bonnes nouvelles, fonçons directement dans les bonus :